viala-du-tarn

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Thé dansant

Pour continuer la restauration des peintures de l'église de Saint-Symphorien, nous vous attendons nombreux avec famille et amis pour notre thé dansant d'automne. Ambiance garantie!

Au menu du repas (auquel on peut s'inscrire même si on n'est pas danseur):

  • salade verte Roquefort-noix-croûtons
  • saucisse aux lentilles et coustillous
  • salade de fruits
  • fouace
  • vin compris

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Samedi 9 novembre avait lieu au Viala-du-Tarn la première soirée organisée par l'ASES. Près de 90 personnes ont participé, auditeurs et danseurs, et plus de 70 sont restés pour le repas organisé et préparé par les bénévoles.

Le groupe cévenol Trio d'Oc (2 accordéonistes: Pierre et Jean-Pierre, et un batteur: David) nous a enchantés par son énergie et son répertoire. Ils ont même été rejoints par des musiciens locaux qui leur ont prêté main forte, à la guitare et aux percussions (Merci à Christian, Didier et Frédéric). En fin de soirée, un jeune talent de chanteur vialarain s'est révélé, nous régalant de "la tactique du gendarme", accompagné à l'accordéon par Jean-Pierre et à la guitare par Didier.

Une tombola mettant en jeu une superbe tableau photo en 3D représentant le village de Saint-Symphorien a aussi eu un bon succès: 89 des 90 numéros se sont arrachés comme des petits pains!

La soirée, qui devait s'achever à 22 heures, s'est prolongée jusqu'à 22 heures 30, où elle s'est conclue par une joyeuse chenille regroupant une trentaine de danseurs sous le regard d'une dizaine de spectateurs.

Nous remercions tous les amis, danseurs, musiciens, spectateurs et bénévoles qui, par leur présence et leur bonne humeur, ont fait de cette soirée un succès. C'était un grand moment de joie et d'amitié.

Nous envisageons d'ores et déjà d'organiser une autre soirée au printemps, où nous inviterons de nouveau nos amis cévenols avec, en première partie, un chanteur écossais, Wally Allan. Les tractations sont en cours.

N'oubliez pas non plus la journée médiévale avec les Baladins de l'Histoire, le 5 juillet au Viala.

les vaillants danseurs et danseuses et les infatigables musiciens pour une formidable soirée
les vaillants danseurs et danseuses et les infatigables musiciens pour une formidable soirée
les vaillants danseurs et danseuses et les infatigables musiciens pour une formidable soirée
les vaillants danseurs et danseuses et les infatigables musiciens pour une formidable soirée
les vaillants danseurs et danseuses et les infatigables musiciens pour une formidable soirée
les vaillants danseurs et danseuses et les infatigables musiciens pour une formidable soirée
les vaillants danseurs et danseuses et les infatigables musiciens pour une formidable soirée
les vaillants danseurs et danseuses et les infatigables musiciens pour une formidable soirée

les vaillants danseurs et danseuses et les infatigables musiciens pour une formidable soirée

Au tout début de l'après-midi, une bonne mise en jambes. Tiendra-t-il jusqu'au bout à ce rythme?

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Le 9 novembre, l'association organise à la Maison du Temps Libre du Viala un thé dansant suivi d'un repas avec le groupe gardois Trio d'oc.

Nous espérons vous voir nombreux pour passer ensemble une bonne soirée!

A votre agenda!

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L’église de Saint-Symphorien de Lévezou dans l’Histoire

 

Le territoire de la paroisse de Saint-Symphorien, comme plusieurs de ses voisins, faisait partie des possessions seigneuriales de la vieille famille de Lévezou qui participa aux Croisades, jusqu’au XIIe siècle où il entre dans les seigneuries du Comte de Rodez pour être en partie uni, vers la fin du XIVe siècle, au monastère bénédictin Saint-Sernin-sous-Rodez et ce jusqu’à la Révolution. Cela explique le titre de prieur pour le prêtre titulaire de la cure paroissiale, désigné par l’évêque de Rodez, qui occupait le presbytère.

Le hameau, avec son organisation parcellaire très caractéristique, paraît s’être constitué autour de l’église qui a lié l’habitat durant la période médiévale; toutefois, aucune trace d’un édifice cultuel antérieur au XVe siècle n’apparaît pour l’instant avec des indices irréfutables, même si quelques vestiges indiquent une occupation du site dès l’Antiquité gallo-romaine. De nombreux éléments du XVe au XVIIe siècle dans les constructions civiles du hameau attestent une phase prospère au Bas Moyen Age et aux temps modernes, simplement interrompue par la crise du XVIe siècle. C’est dans ce contexte de prospérité que le bâti actuel de l’église a été pour l’essentiel réalisé dans la deuxième moitié du XVe siècle, lors du retour de la croissance après la Guerre de Cent Ans. L’architecture de l’église, constituée d’une nef unique à chevet plat avec chapelles latérales, est complétée surtout au XVIIe siècle, au moment où est réalisé, sur un bâtiment plus ancien de plan quadrangulaire, le presbytère qui masque depuis une partie du portail primitif. C’est aussi à ce moment-là, lorsque la Réforme Catholique bat son plein, que plusieurs restaurations interviennent pour peut-être réparer des destructions ou une situation d’abandon liées aux guerres civiles religieuses émaillées d’évènements marquants au Viala-du-Tarn. D’ultimes aménagements, comme des ouvertures et un enrichissement du mobilier, sont réalisés dans la première moitié du XIXème siècle. C’est donc autour d’une église essentiellement marquée par le style gothique que le hameau se regroupe encore aujourd’hui. Le fait religieux a ainsi joué un rôle décisif dans l’histoire du village, mais il est important de noter que si, jusqu’à la Révolution, un prieur-curé occupait le presbytère, ce serait commettre une erreur de vocabulaire que d’employer le terme de prieuré, comme pour celui de Comberoumal par exemple, en laissant entendre la présence d’un petit monastère dont il n’y a aucune trace dans les archives. Ici, le terme de prieuré ne peut valoir que pour désigner la paroisse de par son lien avec le monastère Saint-Sernin-sous-Rodez dont elle constituait un bénéfice.

 

Les peintures

A Saint-Symphorien, un des fleurons de l’église est sa décoration intérieure qui couvre la totalité de la nef ainsi que les chapelles adjacentes. Les décors sont aujourd’hui en partie masqués par des enduits anciens à la chaux, mais qui ont eu l’énorme avantage de les préserver. Certains fragments ont été dégagés à l’occasion des travaux conduits par l’abbé Cazottes, révélant ainsi l’intérêt majeur de l’église de Saint-Symphorien pour le patrimoine régional. Les éléments visibles des peintures sont essentiellement des décors floraux réalisés à la détrempe, mais il y a aussi la représentation d’une Vierge à l’Enfant, retable en trompe-l'oeil,  qui relève de l’exception par sa qualité artistique. Le tout, avant une étude archéologique approfondie et avec l’appui de documents d’archives, pourrait dater du XVIIe siècle. Ce type de décor est assez exceptionnel en Rouergue, mais aussi dans le Midi de la France, d’autant qu’il a échappé aux ravalements intempestifs de nombreuses églises réalisés dans les années 70/80 du siècle passé.

 

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Rédigé par A.S.E.S

Publié dans #Viala-du-Tarn, #Lévezou, #Aveyron, #église de Saint-Symphorien

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